%0 Journal Article %9 ACL : Articles dans des revues avec comité de lecture non répertoriées par l'AERES %A Vasquez, E. %A Koste, W. %A Medina, M.L. %T Variaciones morfologicas del rotifero Keratella americana (Carlin, 1943) de una laguna de inundacion del rio Orinoco, Venezuela %D 1991 %L fdi:35847 %G SPA %J Revue d'Hydrobiologie Tropicale %@ 0240-8783 %K PLAINE INONDABLE ; ZOOPLANCTON ; ANATOMIE ANIMALE ; VARIATION SAISONNIERE ; RELATION PREDATEUR PROIE %K ROTIFERE ; RELATION ESPECE ENVIRONNEMENT %K VENEZUELA %K ORENOQUE COURS D'EAU %N 2 %P 83-90 %U https://www.documentation.ird.fr/hor/fdi:35847 %> https://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/cahiers/hydrob-trop/35847.pdf %V 24 %W Horizon (IRD) %X L'analyse dy rapport de la longueur de l'épine postérieure à celle de la lorica a montré que l'épine postérieure est significativement plus courte pendantles basses eaux que pendant la crue. Compte-tenu des facteurs habituellement associé au polymorphisme de #Brachionus$ et #Keratella$, on émet l'hypothèse que la variation observée est liée à la disponibilité de la nourriture. Une longue épine postérieure serait un avantage en période de moindre nourriture (période de hautes eaux) tandis qu'à l'étiage une courte épine serait profitable quand la disponibilité des proies augmente. Il a aussi été observé que de faibles variations d'abondance d' #Asplanchna$, prédateur du rotifère, affectent la densité de #K. americana$, mais sans effet notable sur la longueur de l'épine. En se fondant sur la nomenclature existante existante pour #K. cochlearis$, nous proposons la désignation de #K. americana$ Carlin, 1943 (f. #hispida$ nov. f.) comme super-espèce incluant lees formes #typica$ (longue épine postérieure), f. #tecta$ (sans épine postérieure) et, intermédiaires entre ces extrêmes, et en ordre de longueur d'épine décroissante, les formes #micracantha$ et #tuberculata$. (Résumé d'auteur) %$ 036EAUCON03