@incollection{fdi:010016088, title = {{R}elations entre les n{\'e}matodes et les {A}cacia : synth{\`e}se des travaux pr{\'e}liminaires au {S}{\'e}n{\'e}gal}, author = {{C}adet, {P}atrice and {D}uponnois, {R}obin and {S}enghor, {K}.}, editor = {}, language = {{FRE}}, abstract = {{C}omme toutes les plantes sup{\'e}rieures, les #{A}cacia$ sont attaqu{\'e}s par de nombreuses esp{\`e}ces de n{\'e}matodes. {P}lusieurs enqu{\^e}tes r{\'e}alis{\'e}es au {S}{\'e}n{\'e}gal sur #{A}. holosericea$, #{A}. tortilis$ et #{A}. senegal$ ont r{\'e}v{\'e}l{\'e} la pr{\'e}sence des genres de n{\'e}matodes les plus fr{\'e}quemment rencontr{\'e}s sur les cultures dans la rhizosph{\`e}re des arbres : #{M}eloidogyne$, #{P}ratylenchus$, #{H}elicotylenchus$, #{T}ylenchorhynchus$ et #{S}cutellonema$. {T}ous les #{A}cacia$ {\'e}tudi{\'e}s peuvent {\^e}tre consid{\'e}r{\'e}s comme plantes h{\^o}tes des n{\'e}matodes {\`a} galles (#{M}eloidogyne$), dans la mesure o{\`u} il y a toujours formation de cellules g{\'e}antes dans les racines. {L}a multiplication des n{\'e}matodes diff{\`e}re selon les esp{\`e}ces d'#{A}cacia$. {C}elles o{\`u} la p{\'e}n{\'e}tration et le d{\'e}veloppement sont {\'e}lev{\'e}s sont consid{\'e}r{\'e}es comme sensibles et inversement pour les esp{\`e}ces r{\'e}sistantes. {D}ans le premier groupe se trouvent #{A}. holosericea$, #{A}. mangium$, #{A}. hilliana$, #{A}. nilotica$ et dans le second : #{A}. tumida$, #{A}. lysipholia$, #{A}. albida$ et #{A}. senegal$. {M}ais, pour toutes ces esp{\`e}ces, la r{\'e}sistance augmente avec l'âge de la plante, apparemment suite au durcissement du cortex racinaire : il s'agirait donc d'une r{\'e}sistance m{\'e}canique. {D}ans le cas de #{F}aidherbia albida$, ce processus se double de l'apparition de cellules ph{\'e}noliques dans les tissus racinaires. {L}eur existence sugg{\`e}re qu'un m{\'e}canisme de r{\'e}sistance physiologique pourrait {\'e}galement intervenir. {E}n revanche, la classification des #{A}cacia$ en esp{\`e}ces tol{\'e}rantes, r{\'e}sistantes ou sensibles, sur la base de la r{\'e}ponse v{\'e}g{\'e}tative de la plante en pr{\'e}sence des n{\'e}matodes, est beaucoup plus d{\'e}licate, en raison de l'interf{\'e}rence de la symbiose rhizobienne. {U}ne esp{\`e}ce r{\'e}sistante peut para{\^i}tre sensible si l'attaque des parasites inhibe la nodulation. {U}ne esp{\`e}ce sensible peut para{\^i}tre r{\'e}sistante si l'attaque des parasites stimule la nodulation, l'arbre parasit{\'e} se d{\'e}veloppe alors beaucoup mieux que celui qui ne l'est pas... ({D}'apr{\`e}s r{\'e}sum{\'e} d'auteur)}, keywords = {{NEMATODE} {PHYTOPARASITE} ; {RELATION} {HOTE} {PARASITE} ; {RESISTANCE} {DE} {L}'{HOTE} ; {SYMBIOSE} ; {DEVELOPPEMENT}}, booktitle = {{L}'acacia au {S}{\'e}n{\'e}gal}, numero = {}, pages = {397--411}, address = {{P}aris}, publisher = {{ORSTOM}}, series = {{C}olloques et {S}{\'e}minaires}, year = {1998}, ISBN = {2-7099-1423-9}, ISSN = {0767-2896}, URL = {https://www.documentation.ird.fr/hor/fdi:010016088}, }