%0 Journal Article %9 ACL : Articles dans des revues avec comité de lecture non répertoriées par l'AERES %A Lamachère, Jean-Marie %A Séguis, Luc %T Nouvelles techniques de mesure des pluies, des débits liquides et solides sur parcelles agronomiques %B Erosion en montagnes semi-arides et méditerranéennes %D 1997 %E De Noni, Georges %E Lamachère, Jean-Marie %E Roose, Eric %L fdi:010011103 %G FRE %J Bulletin - Réseau Erosion %K EROSION HYDRIQUE ; PLUVIOMETRIE ; RUISSELLEMENT ; TRANSPORT SOLIDE ; ESTIMATION ; ETUDE EXPERIMENTALE %K BURKINA FASO ; SENEGAL %K BIDI SAMNIWEOGO REGION ; THYSSE KAYMOR REGION %N 17 %P 255-271 multigr. %U https://www.documentation.ird.fr/hor/fdi:010011103 %> https://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/pleins_textes_7/bre/010011103.pdf %W Horizon (IRD) %X Deux techniques différentes de mesure des pluies, des débits liquides et solides sur parcelles agronomiques sont présentés dans cet article. Le premier exemple correspond aux protocoles d'observations mis au point sur les grandes parcelles agronomiques (4 000 m2) de la région de Bidi, au nord-ouest du Burkina Faso. Ces protocoles s'appuient à la fois sur des observations directes, des prélèvements manuels et des enregistrements sur appareils mécaniques de précision. Les précisions obtenues sur le calage des enregistrements sont de 5 minutes pour le temps, 0,5 à 1 cm pour les hauteurs d'eau et 0,1 mm pour les hauteurs de pluie. Les erreurs relatives sont malgré tout de 10% sur l'estimation de la pluie au sol, 10 à 20% pour l'estimation des lames ruisselées et d'au moins 30% sur l'estimation des charges solides transportées. Le second exemple correspond aux protocoles d'observation mis au point sur 4 petites parcelles agronomiques (50 m2) dans la région de Thyssé-Kaymor au Sénégal. Ces parcelles ont été équipées de capteurs électroniques reliés à une même centrale d'acquisition de données. L'utilisation de ces nouvelles techniques de mesure permet un saut qualitatif dans la précision des observations : 2 mm pour les hauteurs d'eau avec le capteur de pression et 5 secondes entre chaque mesure sur une même base de temps. Il est ainsi possible de quantifier correctement les décalages (1 à 3 mn) entre les pics d'intensité pluviométrique et les maximums de débit ruisselé. (Résumé d'auteur) %B Erosion en Montagnes Semi-Arides et Méditerranéennes : Journées du Réseau Erosion %8 1996/09/24-27 %$ 068EROSOL