%0 Journal Article %9 ACL : Articles dans des revues avec comité de lecture non répertoriées par l'AERES %A Dégallier, Nicolas %A Brunhes, Jacques %T Epieropsis Normand, 1919 = Coelocraera Marseul, 1857, nouv. syn., avec Coelocraera geminata (Normand, 1919), nouv. comb. (Col. Histeridae, Histerinae) : note scientifique %D 1995 %L fdi:010006556 %G FRE %J Nouvelle Revue d'Entomologie %@ 0374-9797 %K ENTOMOLOGIE GENERALE ; TAXONOMIE ; GENRE %K SYNONYMIE %N 4 %P 242 %U https://www.documentation.ird.fr/hor/fdi:010006556 %> https://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/pleins_textes_6/b_fdi_45-46/010006556.pdf %V 12 %W Horizon (IRD) %X Lors d'une révision des espèces du genre Coelocraera Marseul, Degallier (1983, Sociobiology, 8 (2) : 137-153) avait attiré l'attention sur la grande similitude existant entre les descriptions de Coelocraera halsteadi Mazur, 1977 (Bull. Acad. pol. Sc., sér. Sc. biol., Cl. II, 25 (10) : 671-678) et d'Epieropsis geminata Normand, 1919 (Bull. Soc. ent. Fr., 23 (13) : 221-225). Grâce à l'obligeance du Dr. A. Jarraya (I.N.A., Tunis), l'un de nous (J.B.) a pu comparer l'holotype de cette dernière espèce avec un exemplaire de C. halsteadi, espèce connue de République Centrafricaine, du Nigeria et du Bénin. C. geminata (Normand), dont le dessous - collé sur la paillette - et les genitalia n'ont malheureusement pu être étudiés faute de temps, est plus bombé et globuleux que C. halsteadi. La ponctuation du propygidium est par ailleurs constituée de points à peine visibles chez le premier, plus profondément marqués chez le second. Des différences aussi légères ne nous permettent pas de maintenir ces deux espèces en des genres distincts et nous considérons donc que Epieropsis Normand, 1919 est synonyme de Coelocraera Marseul, 1857. Il est par contre impossible de statuer de manière définitive sur l'éventuelle synonymie de ces deux espèces. Si l'on considère que l'aire de répartition de ces espèces se trouve de part et d'autre du Sahara, il peut s'agir de deux sous-espèces vicariantes. Cependant, seule l'étude de matériel complémentaire, obtenu par piégeage lumineux ou dans les fourmilières de "fourmis voyageuses" (Dorylinae) dans les alentours de la localité-type (Souk-el-Arba, Tunisie), permettrait de vérifier cette hypothèse. (Texte intégral de la note scientifique) %$ 080ZOOGEN02