%0 Unpublished Work %9 AP : Autres productions %A Picaut, Joël %A Hayes, S.P. %A McPhaden, M.J. %T Utilisation de l'approximation géostrophique pour estimer les courants variables à l'équateur %B Amélioration des systèmes d'observations pour la surveillance en temps réel de la structure thermique du Pacifique tropical %C Nouméa %D 1988 %E Picaut, Joël %E Hayes, S.P. %E McPhaden, M.J. %E Eldin, Gérard %E Grelet, Jacques %E Montel, Yves %L fdi:26161 %G FRE %I ORSTOM %K BOUEE ; COURANT MARIN %K APPROXIMATION GEOSTROPHIQUE %K PACIFIQUE EQUATORIAL %N 1 %P 17-50 %U https://www.documentation.ird.fr/hor/fdi:26161 %> https://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/pleins_textes_6/b_fdi_37-38/26161.pdf %W Horizon (IRD) %X Des mouillages de chaînes à thermistances à 2°N et 2°S et des mouillages courantométriques à O° sont utilisés pour étudier le niveau de précision des courants zonaux géostrophiques à l'équateur, estimés dans l'est (110°W) et l'ouest (165°E) du Pacifique. La dérivée méridionale de la relation géostrophique est utilisée pour éliminer les erreurs importantes occasionnées par le gradient méridien de pression dû au vent. Une étude statistique montre que pour une échelle de temps supérieure à 30-50 jours, les courants observés et estimés par la géostrophie sont similaires (coefficients de corrélation de 0,6 - 0,9 et amplitudes comparables). Ainsi, les variations basse fréquence des courants équatoriaux sont assez bien représentées par l'approximation géostrophique. Par contre, les courants moyens sont assez mal schématisés avec le réseau de mesures considéré. Dans le Pacifique Est la différence, entre ces courants zonaux moyennés sur les 10 mois de comparaison, est de 25 cm s-1 à 25 m et croît à 60 cm s-1 à 125 m. A 165°E, la différence entre ces courants moyens au dessus de 250 m est de l'ordre de 50 cm s-1 sur les 4 mois de mesure. (Résumé d'auteur) %$ 032DYNEAU