%0 Unpublished Work %9 AP : Autres productions %A Moreau, Yann %T Couverture des besoins énergétiques des poissons tropicaux en aquaculture : purification et comparaison des amylases de deux tilapias Oreochromisniloticus et Sarotherodon melanotheron %C Montpellier %D 2001 %L fdi:010025474 %G FRE %I IRD %K PISCICULTURE ; POISSON D'EAU DOUCE ; BESOIN NUTRITIONNEL ; VALEUR ENERGETIQUE ; DEPENSE ENERGETIQUE ; AMIDON ; HYDROLYSE ; ENZYME ; PROTEINE ; ETUDE EXPERIMENTALE %K ZONE TROPICALE %P 203 multigr. %U https://www.documentation.ird.fr/hor/fdi:010025474 %> https://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/pleins_textes_6/divers1/010025474.pdf %W Horizon (IRD) %X La couverture des besoins énergétiques alimentaires a été étudiée chez des poissons tropicaux utilisés en aquaculture et connus pour leur meilleure utilisation de l'énergie non-protéique. Ces besoins ont été évalués, et l'utilisation de l'amidon évaluée comme source potentielle d'énergie alimentaire. Les besoins ont été déterminés en fournissant des rations croissantes d'un aliment unique, riche en protéines, ne pouvant avoir d'effet limitant. L'utilisation de l'amidon a été étudiée par calorimétrie indirecte et tests de croissance. La mise au point de la purification des amylases digestives chez 2 tilapias a permis d'étudier leurs caractéristiques et de les comparer entre elles ou à celles du pancréas de porc. La méthode proposée a permis la détermination des besoins énergétiques chez 5 espèces : 2 silures, 2 tilapias et le tambaqui. Les besoins sont compris entre 0,9 et 1,3 MJ EB/kg/j ou 0,85 et 1,2 MJ ED/kg/j, avec une contribution des protéines représentant 21 à 47% de l'énergie digestible. Des apports en énergie supplémentaire, même sous forme de protéines, ne permettent d'augmenter que l'accrétion lipidique. L'analyse par calorimétrie indirecte montre que l'amidon est effectivement utilisé comme source d'énergie, et les tests de croissance confirment son effet d'épargne protéique. L'alpha-amylase a été purifiée chez les 2 tilapias, #Oreochromis niloticus$ et #Sarotherodon melanotheron$. Leurs masses moléculaires respectives sont de 56,6 et 55,5 kD. Deux isoformes, A et B, sont présentes chez chaque espèce, avec un pl respectif de 7,8 et 8,2 chez #O. niloticus$, et de 8,2 et 8,8 chez #S. melanotheron$. L'isoforme B est instable et conduit à la formation de l'isoforme A... (D'après résumé d'auteur) %B Université d'Aix-Marseille 3 : Marseille %8 %$ 040AQUAC