@phdthesis{fdi:010014311, title = {{E}tude de l'incidence du n{\'e}matode phytoparasite {M}eloidogyne javanica sur la croissance et la symbiose fixatrice d'azote de douze esp{\`e}ces d'{A}cacia (africains et australiens) et mise en {\'e}vidence du r{\^o}le des symbiotes endo et ectomycorhiziens contre ce n{\'e}matode}, author = {{S}enghor, {K}hadidiatou}, editor = {}, language = {{FRE}}, abstract = {{C}inq esp{\`e}ces d'#{A}cacia$ africains et sept esp{\`e}ces australiennes ont {\'e}t{\'e} test{\'e}es quant {\`a} leur sensibilit{\'e} et leur r{\'e}sistance vis {\`a} vis du n{\'e}matode #{M}eloidogyne javanica$. {T}outes ces esp{\`e}ces se sont r{\'e}v{\'e}l{\'e}es h{\^o}tes de #{M}. javanica$ car pr{\'e}sentant les galles caract{\'e}ristiques de l'infestation par ce parasite. {M}ais le nombre de galle (indice de galles) et la croissance des plants varient en fonction de l'esp{\`e}ce d'#{A}cacia$, ce qui r{\'e}v{\`e}le une certaine diff{\'e}rence de comportement vis {\`a} vis du n{\'e}matode. #{A}. hilliana$, #{A}. holosericea$, #{A}. mangium$, #{A}. nilotica$, #{A}. schlerosperma$ et #{A}. seyal$ sont les plus sensibles et les moins r{\'e}sistants alors que #{A}. lysiphollia$, #{A}. raddiana$, #{A}. senegal$, #{A}. trachycarpa$ sont les plus r{\'e}sistants. #{A}. albida$ et #{A}. tumida$ constituent deux cas particuliers ; ce sont deux esp{\`e}ces r{\'e}sistantes et leur croissance est en plus stimul{\'e}e en pr{\'e}sence du n{\'e}matode. {E}tant donn{\'e} que les acacias sont des esp{\`e}ces entrant en symbiose avec des bact{\'e}ries fixatrices d'azote, la croissance de ces arbres en pr{\'e}sence du n{\'e}matode a {\'e}t{\'e} {\'e}tudi{\'e}e en tenant compte de cette symbiose fixatrice d'azote qui, dans le cas pr{\'e}sent, a {\'e}t{\'e} r{\'e}alis{\'e}e avec des bact{\'e}ries indig{\`e}nes. {L}'impact de #{M}. javanica$ sur les acacias est la r{\'e}sultante de deux effets antagonistes : l'effet d{\'e}pressif dû {\`a} la destruction m{\'e}canique des racines par le n{\'e}matode et l'effet stimulant r{\'e}sultant de la symbiose rhizobienne avec les bact{\'e}ries indig{\`e}nes. {L}a pr{\'e}sence du n{\'e}matode peut stimuler la symbiose fixatrice d'azote (#{A}. albida$, #{A}. senegal$, #{A}. trachycarpa$ et {\'e}ventuellement #{A}. lysiphollia$ ou l'induire #{A}. tumida$ et #{A}. hilliana$), mais peut {\'e}galement inhiber cette symbiose comme c'est le cas chez #{A}. holosericea$, #{A}. seyal$, #{A}. mangium$ et #{A}. nilotica$. {C}ependant, chez #{A}. schlerosperma$ et #{A}. raddiana$, la pr{\'e}sence du n{\'e}matode n'a aucun effet sur la symbiose fixatrice d'azote... ({D}'apr{\`e}s r{\'e}sum{\'e} d'auteur)}, keywords = {{ARBRE} ; {FIXATION} {BIOLOGIQUE} {DE} {L}'{AZOTE} ; {SYMBIOSE} ; {MYCORHIZE} ; {NEMATODE} {PHYTOPARASITE} ; {RELATION} {HOTE} {PARASITE} ; {ETUDE} {COMPARATIVE}}, address = {{D}akar}, publisher = {{ORSTOM}}, pages = {128 multigr.}, year = {1998}, URL = {https://www.documentation.ird.fr/hor/fdi:010014311}, }